Kinshasa, 10 juillet 2022 (ACP).- Le ministre de la Jeunesse, initiation à la nouvelle citoyenneté et Cohésion nationale, Yves Bunkulu, a défendu vendredi, au Conseil des ministres, la politique de la cohésion nationale, ainsi que le guide et le programme d’initiation à la nouvelle citoyenneté en République démocratique du Congo.
Conformément à la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, le ministre de la Jeunesse a fait savoir qu’il faut placer l’homme au centre du développement grâce à la valorisation du capital humain et au développement social et culturel, parce que « la RDC aspire, à l’instar de la plupart des pays en développement, à devenir un pays développé à l’horizon 2050 ».
Le ministre Yves Bunkulu a ainsi axé son intervention autour de 3 axes majeurs, à savoir : la motivation de l’élaboration de la politique de la cohésion nationale, du guide et du programme d’initiation à la nouvelle citoyenneté ; le fondement légal de l’élaboration de la politique, du guide et du programme d’initiation à la nouvelle citoyenneté et enfin l’opportunité de l’élaboration de la politique, du guide et du programme d’initiation à la nouvelle citoyenneté.
Pour lui, cette nouvelle citoyenneté, « est une citoyenneté active, qui implique la capacité et l’habileté de contribuer à la transformation de l’espace politico-économique congolais, c’est-à-dire non seulement il entreprend, mais il participe à la transformation dans le but de construire un état fort, prospère et solidaire, tel que voulu par le gouvernement de la République ».
Par ailleurs, le ministre Yves Bunkulu a souligné que pour espérer atteindre un développement humain et durable, il s’avère impérieux de former un nouveau type de citoyen.
C’est ainsi, a-t-il soutenu, que l’initiation à la nouvelle citoyenneté concerne tous les Congolais, de toutes les couches sociales.
« Le programme d’éducation à la nouvelle citoyenneté est le principal outil du combat pour le changement des mentalités de la société congolaise, car il en découlera des modules d’enseignement pour le système éducatif formel, non-formel et informel », a-t-il conclu. ACP/
